Source: Africa Flashes
RDC: Thabo Mbeki, Kagame et Kabila Démasqués – Le Mensonge de Trop!
27 May 2025
Une imposture politique et des mensonges répétés plongent le peuple congolais dans la souffrance. Alors que des millions fuient ou périssent dans la guerre à l’Est de la RDC, Tabo Mbeki, ancien président sud-africain, nie l’agression rwandaise orchestrée par Paul Kagame et Joseph Kabila. Cette analyse déconstruit le discours toxique de Mbeki, dénonce les complicités régionales et exige justice pour les 20 millions de morts congolais. Le peuple mérite vérité et réparation face à ces trahisons.
Mbeki, autrefois proche de Mandela, trahit les valeurs de justice et de souveraineté en reprenant la propagande de Kabila et Kagame. Il prétend que le conflit congolais est interne, niant l’ingérence rwandaise et qualifiant les “rwandophones” de Congolais. Ce discours mensonger insulte la mémoire des victimes. Soutenu par d’autres comme Olusegun Obasanjo, Mbeki défend des intérêts personnels liés aux minerais et aux contrats, au détriment du peuple congolais.
Depuis 1996, la RDC subit une guerre d’agression, et non une guerre civile. L’AFDL, soutenue par le Rwanda, a porté Kabila, un président à la nationalité douteuse, au pouvoir. Jean-Pierre Bemba a dénoncé cette imposture, mais la justice congolaise doit encore établir la vérité sur Kabila, pion rwandais affaiblissant l’État pour piller ses richesses. Cette vérité est essentielle pour reconstruire la souveraineté congolaise.
Kabila a bénéficié de réseaux puissants visant à maintenir l’instabilité à l’Est pour exploiter les minerais. Kagame, perçu comme un héros post-génocide de 1994, est en réalité un despote orchestrant le pillage de la RDC. Les voix dissidentes sont réduites au silence. Mbeki ignore les rapports de l’ONU et de Human Rights Watch confirmant l’implication rwandaise, minimisant les 20 millions de morts.
Le terme “rwandophone” est une manipulation visant à légitimer la présence rwandaise en RDC. Parler kinyarwanda indique une origine rwandaise, et lorsque ces individus prennent les armes pour le Rwanda, ils deviennent des agents étrangers. Mobutu avait naturalisé ces populations dans les années 1980, mais leurs descendants servent aujourd’hui une agression déguisée en crise communautaire, menaçant l’intégrité territoriale congolaise.
Tshisekedi a amorcé des réformes en purgeant l’armée et en dénonçant l’agression rwandaise, mais il doit aller plus loin. Une loi doit vérifier l’origine des hauts fonctionnaires, et l’histoire officielle doit être révisée. La jeunesse congolaise doit rejeter les faux panafricanistes comme Mbeki et exiger justice pour les martyrs. Des monuments et une journée de mémoire sont nécessaires pour honorer les victimes et éduquer les générations futures