The Western liberals of the Rules Based Order clammer against war when it is not a war they want. Should terrorists and insurgencies be negotiated with, given a place at the table, or should they be dealt with by the military ? M23 should be eradicated. Good for Burundi that wants to to make a cemetery for M23-RDF in South Kivu. It is after all Article 51 of the Congolese Constitution, the right to defend national sovereignty…and Pres. Ndayishimiye is protecting Burundians by wanting to remove M23-RDF from neighbouring South Kivu.
Source: Africa Flashes
Burundi et Ndayishimiye doivent transformer le Sud Kivu en un cimetière pour les RDF de Kagame
21 Fev 2025
Le Burundi et son président Ndayishimiye doivent réagir face à la menace croissante des Forces de Défense du Rwanda (RDF), qui poursuivent leur expansion en République Démocratique du Congo (RDC) et s’approchent désormais du Sud-Kivu. Ce danger pourrait bien se concrétiser sous la forme d’une attaque du Rwanda contre le Burundi, dont la position stratégique et les ressources attirent l’ambition expansionniste de Kagame. Le Burundi doit être prêt à transformer cette menace en opportunité en rendant la guerre trop coûteuse pour Kagame, en défendant fermement ses frontières et en préparant des mesures de riposte.
Les récentes avancées des RDF près d’Uvira pourraient signaler le début d’une offensive vers le Burundi. Alors que des sources locales rapportent que Kagame pourrait être pris de court, il est crucial que le Burundi, fort de son expérience militaire, adopte une stratégie de résistance farouche. Les tactiques de guérilla, qui ont fait leurs preuves par le passé, pourraient être essentielles pour repousser l’agression, en particulier face à une armée rwandaise bien équipée mais qui n’a pas encore affronté une résistance aussi déterminée que celle que le Burundi pourrait lui opposer.
Les Forces de Défense Nationale du Burundi (FDNB) se distinguent par leur résilience, une qualité qui les distingue des FARDC, où la collaboration avec Kagame a permis des incursions facilitées. Le Burundi pourrait jouer un rôle clé en stoppant l’expansion de Kagame et en rendant cette guerre inefficace. Il est aussi nécessaire que le président Tshisekedi prenne des mesures pour résoudre les problèmes internes au sein de l’armée congolaise afin de renforcer l’opposition à Kagame, bien que cela implique parfois des concessions territoriales temporaires.
L’histoire des invasions militaires, comme celle d’Hitler en France de 1940 à 1944, démontre que même les occupations les plus ambitieuses peuvent échouer face à la résistance. Le Burundi ne doit donc pas perdre espoir, bien que l’issue de cette bataille ne soit pas encore écrite. L’avancée de Kagame à Goma et Bukavu rencontre déjà des défis, et il est encore possible d’inverser la dynamique avant que la menace ne devienne irréversible.
Les raisons qui poussent Kagame à cibler le Burundi sont multiples, allant des ambitions géopolitiques à l’accès aux ressources naturelles. Le Rwanda cherche à établir une domination régionale et pourrait utiliser des prétextes militaires pour justifier ses incursions. Toutefois, ces ambitions cachent des intérêts politiques et économiques, notamment la volonté de contrôler le Burundi, riche en ressources, et de sécuriser son influence sur les routes commerciales clés en Afrique centrale et de l’Est.
Face à cette situation, le Burundi doit agir sur plusieurs fronts. Il doit renforcer sa défense nationale, établir des alliances militaires avec ses voisins, et intensifier la pression diplomatique sur la scène internationale. En exposant les ambitions de Kagame à l’ONU et auprès de partenaires régionaux, le Burundi pourrait réduire l’espace d’action du Rwanda. Par ailleurs, soutenir les mouvements de résistance internes au Rwanda et mobiliser la société civile sont des actions nécessaires pour limiter les initiatives expansionnistes de Kagame et préserver la souveraineté du Burundi et de la région.